Logiciels : Développées depuis de nombreuses années, les messageries chiffrées ont aujourd'hui le vent en poupe. Se présentant comme un moyen efficace d'échanger et partager de façon sécurisée des données, leur utilisation à des fins mal-intentionnées soulève pourtant de nombreux problèmes.
Après les attentats qui ont frappé la France le 13 novembre, on est en droit de s'interroger sur la capacité - et l'opportunité - des terroristes à s'échanger entre eux des informations. A ce titre, il ressort que certains outils, en particulier les messagerie sécurisée, sont utilisés par des djihadistes de l'État islamique, à l'instar de Telegram. Pour autant, les outils de chiffrement de messagerie qui se trouvent sur le marché, comme par exemple la solution suisse ProtonMail qui vient par ailleurs d'essuyer une attaque DDoS massive, ou encore Pretty Easy Privacy permettant le chiffrement des communications en ligne, n'ont pas vocation être utilisés pour répondre à de funestes desseins comme l'organisation de projets terroristes. Mais plutôt de répondre à des enjeux de protection contre les outils de surveillance étatique ou de guerre économique.
Logiciels : Développées depuis de nombreuses années, les messageries chiffrées ont aujourd'hui le vent en poupe. Se présentant comme un moyen efficace d'échanger et partager de façon sécurisée des données, leur utilisation à des fins mal-intentionnées soulève pourtant de nombreux problèmes.
Après les attentats qui ont frappé la France le 13 novembre, on est en droit de s'interroger sur la capacité - et l'opportunité - des terroristes à ...
#Messagerie#Sécurité